Dans la région de Maradi, depuis l’avènement des tricycles en 2013 appelés communément « adaidaita », les taxis ordinaires ont laissé place à ces engins à trois roues. Et ce, de par leur mobilité qui facilite le transport dans la ville.
C’est une activité très prisée par les jeunes, car elle contribue à lutter contre la pauvreté ont affirmé plusieurs conducteurs de ces tricycles.
Cependant, bien que pratique et accessible aux usagers, le transport avec les tricycles/adaidaita, a ses revers. Notamment, ces engins seraient la cause de nombreux accidents à Maradi. Selon la police, plus de 800 cas d’accidents ont été enregistrés en 2021, dont 370 sont causés par les tricycles.
-Alors Comment est organisé le secteur des taxis motos tricycles/adaidaita dans la ville de Maradi ?
-Quelle est la contribution des taxis motos dans le transport à Maradi ?
-Comment mieux utiliser ces engins pour éviter tout désagrément ?
C’est pour répondre à ces questions et à bien d’autres et à bien d’autre que Mohamed Mamane reçoit :
-Salissou Tounao , directeur régional adjoint des transports ;
-Hassan Iro, commandant adjoint de la police municipale de la ville de Maradi ;
-Mahaman Nafiou, commandant de la circulation routière de la police nationale ;
-Aminou Abdoulaye, président de la fédération des syndicats des conducteurs Adaidaita de Maradi ;
-Abdou Dan Neito, président de l’association des consommateurs de Maradi.