La mendicité, un fléau qui malgré toutes les luttes menées par les autorités, continue au Niger.
Ces dernières années, on déplore l’utilisation des enfants dans la mendicité, et de surcroit les tous petits dont l’âge ne dépasse guère 5 ans.
Au Niger, la loi interdit la mendicité, comme le stipule les articles 179, 180, 181 et 182 du code pénal.
Cependant, des exceptions sont accordées à trois catégories de personnes pour lesquelles elle le tolère. Il s’agit les personnes en situation d’handicap, les victimes des catastrophes et les personnes âgées de plus de 60 ans.
Ces mesures juridiques ont été appuyées par une note de la ville de Niamey entrée en vigueur le 1er mai 2019 faisant cas d’une relocalisation.
- Comment lutter contre la mendicité au Niger ?
- Pourquoi le phénomène persiste ?
- Quels risques pour les jeunes enrôlés dans la mendicité ?
Pour en parler nous avons invités :
Comme invités nous avons :
*Raoulatou Abdoulaye de l’association pour l’aide aux enfants défavorisés (ARDA YESSO)
*Rachida Bizo du Cadre Consultatif Nigérien des Enfants et des Jeunes (CCNEJ)
*Ibrahim Maman Saley du Collectif des Organisations et Regroupement des Adeptes du Coran (CORAN)
*Amadou Moumouni Soumaïla, de comité nigérien sur les pratiques traditionnelles ayant un effet sur la santé des femmes et des enfants (CONIPRAT) ;
*Seydou Idé du Collectif des Organisations et Regroupement des Adeptes du Coran (CORAN) ;
*Lamine Maïga Moulaye, de l’association pour l’aide aux enfants défavorisés ;
*Hakibou Salahou-Dini, membre du cadre consultatif nigérien des enfants et des jeunes (CCNEJ) ;
* Ahmed Ousmane, entrepreneur
Présentation Samira Rouafi.