Aujourd’hui nombreux sont ceux qui pensent que la planification familiale consiste à limiter les naissances ou de bloquer les naissances chez la femme. Non, la planification familiale consiste pour un couple de bien organiser sa vie de foyer et de permettre l’épanouissement des enfants.
Dans la fada de ce soir, nous allons voir avec les jeunes les défis à relever ? Ce qui bloque l’accès aux méthodes contraceptives afin de mieux pratiquer la planification familiale ? Qui doit s’impliquer dans la sensibilisation ?
Le Niger a abrité le 11ème rapport annuel du partenariat de Ouagadougou RAPO. Une occasion de faire le point des avancées enregistrées et les défis qui restent à relever.
Au Niger, en continuant de faire preuve d’un engagement pour l’amélioration de l’accès des populations aux services de santé de la reproduction et en particulier à la planification familiale, le ministère de la Santé, a élaboré un plan d’action national budgétisé de 2ème génération pour la période 2021-2025. Ce plan vise à rehausser le taux de prévalence contraceptive à 29,3% et le gouvernement compte beaucoup sur l’appui de ses différents partenaires pour atteindre cet objectif.
Nous sommes au siège du studio kalangou avec les jeunes acteurs qui militent pour l’accès à la planification famille.
Pour en parler nous avons comme invités :
– Samira Boubacar, de l’association GEMS,
– Adama Garba Abdou, de la CNJFL,
–Dr Chamssiya Mamane Sani Ali, présidente de l’association des jeunes médecins du Niger,
-Dadi Djibrilla de l’UDEJ,
Présentation : Habibou Garba
Franco-Zarma