Le Niger reste confronté, 62 ans après son accession à la souveraineté internationale, à plusieurs défis notamment sur les plans éducatif, climatique, humanitaire, sanitaire et surtout sécuritaire.
Par rapport à ce dernier point, le pays assiste à une persistance d’attaques de groupes armés non étatiques dans la région de Tillabéry dite zone des trois frontières, Tahoua frontalière avec le Mali, la région de Diffa, frontalière du Tchad et du Nigeria mais aussi la région de Maradi.
En mars 2021, selon les chiffres officiels annoncés par le gouvernement, plus de 200 personnes avaient été tuées en seulement une semaine, dans différentes attaques perpétrées par des groupes armés non étatiques et des bandits armés.
-Quelle appréciation font les organisations des jeunes et du monde rural de cette situation sécuritaire au Niger ?
-Quel rôle peuvent-elles jouer pour contribuer au renforcement de la paix et de la cohésion sociale dans ce contexte d’insécurité au Niger ?
Pour en débattre, Michel Dédji reçoit dans ce studio :
-Morou Amadou Bello, Coordonnateur de l’ONG Forum des Acteurs pour la Défense et la Promotion des Droits Economiques Sociaux et Culturels et Membre de l’AREN
-Ouzeirou Mamane Amadou, Président de l’Association Nigérienne des Jeunes Unis pour le Développement (ANJUD)
-Abdoul-Moumouni Abass, Représentant ONG « Dialogue pour la paix »
-Mohamed Ewangaye, Représentant de la haute autorité à la consolidation de la paix (HACP), en ligne au téléphone.
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