Dans la fada de ce soir nous allons voir comment les jeunes abordent le mois de ramadan avec la cherté de la vie ?
En effet au marché dolé de Niamey, par exemple, le prix du Kilogramme de la viande varie de 2500 francs à 3000 francs ; celui du sac de riz de cinquante kilos se vend à 21.000 francs, le carton du sucre qui était à 26 000f ramadan passé se vend aujourd’hui à 32 000f. Les légumes bien que disponibles en cette période, sont difficilement accessibles pour les petites bourses : la tasse de tomate fraiche vaut 2500 francs et le pain qui se vendait à 200f se vend aujourd’hui 250f. C’est pourquoi la fada de ce soir s’interroge sur comment les jeunes arrivent ils a joindre les deux bouts surtout avec le mois de ramadan qui vient de commencer ?
Selon les commerçants joints par le studio kalangou, cette cherté s’explique par le fait que la quasi-totalité des produits sont importés de certains pays de la sous-région, notamment le Nigeria, le Burkina Faso et le Ghana mais aussi hors de l’Afrique pour d’autres.
Certains justifient la situation par la guerre en Ukraine.
Dans la fada de ce soir nous allons voir comment les jeunes abordent ils le mois de ramadan avec la cherté de la vie ?
La hausse des prix comment elle impacte le quotidien des jeunes ?
Comment peut-on résoudre cette hausse des prix si oui comment ?
Pour en parler nous sommes au siège du studio kalangou, nous avons comme invités :
– Farida Mounkaila, Journaliste
– Dadi Djibrilla, activiste
– Bala Damo Chamssoudine, étudiant à l’UAM
– Mohamed Hamid, étudiant à l’UAM
– Ibrahim Hamidou, Blogueur.
Présentation : Habibou Garba
Franco-Zarma