La pratique de la transhumance transfrontalière a longtemps constitué pour la majorité des éleveurs sahéliens, une stratégie efficace d’adaptation aux aléas climatiques et un système d´exploitation des ressources pastorales face aux crises fourragères saisonnières.
Et cela en tirant partie de la diversité écologique et de la complémentarité entre les différentes zones agro climatiques des pays. Ce qui va sauver l’Afrique, c’est une vraie intégration explique Ibrahim Coulibaly, président du réseau des organisations paysannes d’Afrique de l’ouest au micro de Moctar Hamadou.
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