La fréquence et la sévérité des précipitations extrêmes et des inondations ont considérablement augmenté ces dernières années.
Dans le seul bassin du fleuve Niger, où vit 40 % de la population du pays et où se trouve la capitale, 100 000 personnes en moyenne sont touchées par les inondations chaque année selon l’indice ND-GAIN, (Notre Dame Global Adaptation Initiative) qui est un indicateur développé par L’université de Notre Dame.
Les femmes, de par leurs capacités et leurs ressources, sont des agents importants du changement. Le renforcement des capacités des femmes à atténuer et gérer les catastrophes naturelles doit donc constituer une étape essentielle vers l’édification de communautés fortes.
Alors quelle est la contribution des femmes dans la gestion des catastrophes naturelles au Niger ? Cas des inondations.
Pour les discutions sur cette thématique Rafika Attaher reçoit :
– Moutari Daoudou, du ministère de la promotion de la femme et de la protection de l’enfant ;
– Binta Ismaël, coordinatrice ONG Djoliba.