Agadez / Des demandeurs d’asile contraints de faire des petits travaux pour survivre
« Je suis payé à 1000 f CFA le jour, c’est une somme dérisoire qui me permet de prendre le taxi… Je ne sais pas si cette somme correspond à ma paie… » a confié au Studio Kalangou Mahamat Ali, un refugié demandeurs d’asile, vivant à Agadez. Ce dernier travaille dans un hôtel à Agadez en qualité d’aide-cuisinier, serveur et plongeur à la fois. Depuis plusieurs années déjà ; le Niger accueille des réfugiés de guerre ou de crises venus de plusieurs